Message dicté par Jésus-Christ à travers Kim Michaels, le 4 janvier 2009.
Et comment pouvez-vous communiquer un message spirituel ? Seulement quand vous parlez avec le cœur, mes bien-aimés, car c’est seulement alors que vous parlerez sans peur. Et, bien sûr, vous devez alors arriver à un point où vous avez atteint le non-attachement aux réactions des autres.
Car voyez-vous, mes bien-aimés, pourquoi le sixième rayon est-il le rayon du service et de la paix ? C’est simplement parce que vous ne pouvez pas rendre un véritable service à la vie si vous n’êtes pas pleinement en paix. Ce n’est que lorsque vous êtes en paix que vous pouvez rester centrés dans votre cœur, peu importe ce que les autres vous envoient. Et ce n’est qu’alors que vous pourrez parler avec le cœur. Et ce n’est que lorsque vous parlez avec le cœur que vous pouvez secouer les gens hors de leur état de conscience actuel et leur démontrer qu’il y a un réel espoir de s’élever au-dessus de cet état de conscience.
Voyez-vous, mes bien-aimés, que quand vous répondez méchamment quand les gens sont méchants avec vous, vous ne faites que leur confirmer leur croyance subtile, souvent inconsciente, que le monde est un endroit négatif rempli de personnes négatives. Comment échapperont-ils alors à la négativité, peu importe à quel point vous pourriez argumenter au niveau intellectuel ? Vous devez donc leur montrer un amour inconditionnel en leur tendant l’autre joue. Je veux dire par là ne pas répondre en leur parlant avec la même vibration qu’ils vous parlent, même s’ils cherchent à ridiculiser vos croyances, vous-mêmes ou votre vie.
Si vous répondez de la même manière ou si vous êtes sur la défensive, vous ne faites que leur confirmer qu’il n’y a rien au-delà de cet état de lutte dualiste. Mais lorsque vous tendez l’autre joue en ne répondant pas de la même manière, en parlant avec le cœur, quoi que cela implique, que ce soit un amour dur ou un amour doux, alors vous les secouez en les faisant réfléchir. Et quand ils commencent à réfléchir, mes bien-aimés, alors il y a une réelle possibilité qu’ils se rendent compte qu’il y a quelque chose au-delà.
Peut-être faut-il de nombreuses démonstrations, de nombreuses rencontres avec vous et d’autres personnes qui parlent avec le cœur. Mais il y a très, très, très peu de gens sur cette planète qui ne seraient pas touchés lorsqu’ils rencontrent continuellement des gens qui parlent avec leur cœur. Et vous n’avez pas à vous soucier des gens qui ne peuvent pas être touchés, car la loi de Dieu et les anges de l’Archange Michael s’occuperont d’eux en temps voulu, en les emmenant dans un endroit où ils pourraient recevoir un autre type d’opportunité qu’ils ont reçu sur cette planète, afin qu’ils n’alourdissent pas la planète. Et en effet, vous provoquerez le jugement de ces âmes si vous les laissez vous injurier et vous persécuter à cause de moi.
Parler en étant en paix
Alors, voyez-vous comment pour parler avec le cœur, et continuer à parler avec le cœur, vous devez être en paix ? Et vous ne pouvez être en paix que lorsque vous n’êtes pas attachés aux réactions et réponses des autres. Et ce non-attachement que j’ai démontré en m’exprimant devant le puissant et l’humble de mon temps, et en les laissant faire tout ce qu’ils voulaient avec moi, même me clouer sur cette croix et tuer mon corps physique. Car n’ai-je pas démontré ce non-attachement en disant : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. » Et ainsi, vous pouvez arriver vous-mêmes à ce point, ce point de paix intérieure, de savoir que quoi que les gens vous fassent, vous serez simplement sans attachement ; vous demanderez à Dieu de leur pardonner. Puis, vous abandonnerez n’importe quel fantôme, le fantôme représenté par leur conscience, et vous vous élèverez au-dessus. Car vous ne leur permettrez pas d’empêcher votre transcendance de soi à des niveaux toujours plus élevés de la conscience du Christ.
Voyez-vous, quand vous regardez ma vie en tant que Jésus, que je parlais de différentes manières, mes bien-aimés ? Parfois, je parlais doucement et gentiment. Parfois, j’étais défiant et je faisais face aux gens, comme on dit. Et d’autres fois j’ai parlé comme vous m’entendez parler maintenant : « Car il ne parlait pas comme les scribes ; il parlait avec autorité. »
Je suggère que vous vous entraîniez d’abord à parler gentiment. Mais je vous suggère fortement de ne pas vous limiter, ou plutôt votre être supérieur qui s’exprime à travers vous, à toujours parler gentiment. Au lieu de cela, vous travaillez à arriver au point, où vous êtes si non attachés que vous pouvez laisser votre être supérieur parler à travers vous de la manière adaptée à la situation, où vous n’analysez pas avec l’esprit extérieur quoi dire ou comment dire à une certaine personne, mais vous faites comme Mère Marie l’a expliqué. Vous vous abandonnez; vous faites le vide et vous laissez l’Esprit vous remplir. Car n’ai-je pas dit à mes disciples : « Ne vous souciez pas de ce que vous direz, il vous sera donné. » Et ainsi, quand vous arriverez à ce point, mes bien-aimés, alors l’Esprit parlera à travers vous.
Comment savez-vous quand c’est l’Esprit qui parle ?
La question, bien sûr, que beaucoup d’entre vous se posent est : « Eh bien, comment puis-je en arriver là ? Comment puis-je savoir quand c’est l’Esprit qui parle à travers moi et quand ce n’est pas le cas ? »
Eh bien, mes bien-aimés, voici la simple équation que tant de gens n’ont pas compris. Vous arrivez au point où l’Esprit parlera toujours à travers vous en étant prêts à parler, même si vous vous trompez ou n’êtes pas à la vibration la plus élevée. Vous voyez, mes bien-aimés, il y a deux sortes d’étudiants auxquels nous, en tant qu’enseignants spirituels, sommes confrontés. Il y a ceux qui disent : « Oh Seigneur, je ferai tout ce que tu demanderas, quand je serai devenu parfait et que je ne pourrai pas me tromper. Alors toi, Seigneur, tu devrais m’amener à ce point de perfection, et alors je ferai tout ce que tu demanderas. »
Mais voyez-vous, cela ne peut pas se faire ainsi, mes bien-aimés. Car comment atteignez-vous la maîtrise ? Eh bien, comme le dit le vieil adage, « C’est la pratique qui rend parfait ». Si vous ne pratiquez pas, vous ne pouvez pas apprendre, mes bien-aimés. Si vous n’êtes pas disposés à vous exprimer sur la base de la compréhension et des réalisations que vous avez aujourd’hui, alors vous ne multipliez pas vos talents, n’est-ce pas ? Et si vous ne multipliez pas vos talents, vous ne vous élèverez pas à un niveau de conscience supérieur, et ainsi vous ne pourrez pas recevoir PLUS de l’Esprit.
Ceux qui sont les meilleurs serviteurs, mes bien-aimés, ne sont pas ceux qui travaillent pour la perfection. Ce sont les étudiants qui disent : « Je suis prêt à multiplier ce que tu m’as donné jusqu’à présent. Je suis prêt à parler en fonction de ma compréhension. Cela peut être blessant. Je peux être ridiculisé par les autres. Je peux même me rendre compte que j’ai été naïf ou que j’ai eu une compréhension partielle. » Ou, comme l’a dit une personne l’autre jour, que « j’ai eu tort tant de fois en m’exprimant ». Mais vous avez le droit de vous exprimer à votre niveau actuel de conscience et de compréhension, puis d’en tirer des leçons, car c’est le moyen de progresser plus rapidement sur le chemin, mes bien-aimés.
Copyright © 2009 Kim Michaels