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Moi, Jésus-Christ, je retire ma lumière du christianisme

Message dicté par Jésus-Christ à travers Kim Michaels, le 11 février 2010 devant la basilique Saint-Pierre.

« Retire-toi, Satan ! Tu m’es en scandale, car tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu, mais celles des hommes. » (Mat. 16.23) Ce sont les paroles que j’ai dites à Pierre en ce jour fatidique, lorsqu’il a établi le modèle, qui est devenu le modèle de l’Église catholique, et à travers l’Église catholique, le modèle pour tout le christianisme.

Le modèle consistant à renier le Christ
Le modèle consistait à utiliser votre capacité intrinsèque à reconnaître le Christ, c’est-à-dire qu’il y a quelque chose d’inhabituel chez le Christ ou ceux qui ont la lumière de l’Esprit, mais vous n’êtes pas disposés à sortir de votre boîte mentale. Vous voulez que le Christ vivant entre dans votre boîte mentale et s’y conforme, confirmant ainsi votre boîte et toutes les croyances qu’elle contient, toutes les images mentales, les images taillées, les idoles, que vous avez construites dans votre désir d’éviter de prendre la responsabilité de vous-mêmes et de changer votre vie pour suivre le Christ.

Car vous ne voulez pas laisser l’ancienne identité mourir et renaître. Vous n’êtes pas disposés à abandonner cette ancienne identité pour suivre le Christ dans l’inconnu, où pendant un certain temps ou une fraction de seconde, il semblera que vous n’ayez pas d’identité, car vous l’avez laissée mourir. Et en effet, vous devez laisser l’ancien mourir avant que le nouveau puisse renaître de l’Esprit. C’est la loi, c’est la loi éternelle à laquelle tous ceux qui ont jamais ascensionné ont été confrontés. Vous devez être prêts à abandonner l’ancien, sans savoir s’il y aura une conscience de soi derrière ce point d’abandon. Ne sachant pas à quoi cela ressemblera, ne sachant pas si vous irez au ciel ou en enfer – ou tout ce que vous envisagez pourrait venir après l’abandon de ce moi mortel que vous êtes venus déifier, ou idolâtrer, et voir comme l’image taillée que vous avez mis devant Dieu.

C’est l’initiation que Pierre a ratée, et il l’a ratée jusqu’à la fin de ses jours, et il l’a ratée jusqu’à ce jour. C’est pourquoi le courant de vie de Pierre n’a pas ascensionné. Pourtant, à vrai dire, Pierre n’est pas le seul de mes disciples personnels à ne pas avoir ascensionné. Car la réalité est que les deux tiers d’entre eux étaient parmi les anges déchus originaux qui sont tombés dans leur première sphère et ont continué à tomber, jusqu’à ce qu’ils se retrouvent dans cette sphère, ici sur la planète Terre. Ils ont été assemblés ici pendant une longue période de temps, ils ont été assemblés incarnation après incarnation, et je suis descendu pour leur donner cette dernière opportunité de confesser le Christ ou de renier le Christ. Et ils l’ont tous nié, à l’exception d’un, qui est maintenant en train d’ascensionner. Lequel c’est, est sans importance. Mais je vous fais réaliser que même les anges déchus originels peuvent s’élever au-dessus de ce sentiment d’identité déchu s’ils sont prêts à le laisser mourir. Et s’ils ne le veulent pas, eh bien, ils continueront la spirale descendante, jusqu’à ce qu’ils aboutissent à la seconde mort, où leur opportunité s’épuise.

La conscience déchue dans l’Église catholique
Ceci, mes bien-aimés, est précisément la conscience qui imprègne l’Église catholique. Lorsque les êtres déchus qui forment la fausse hiérarchie sur cette Terre ont vu que le christianisme ne pouvait pas être éradiqué et ne s’éteindrait pas de lui-même, ils ont été prompts à suivre leur propre vieil adage « Si vous ne pouvez pas les battre, rejoignez-les. »

Ils ont rejoint la religion chrétienne à un âge précoce, et ils ont tenté de l’influencer et de la pervertir en y insérant ce que j’ai appelé des idées toxiques. Des idées toxiques qui ont entraîné le christianisme, de manière subtile et apparemment sans rapport, dans une spirale descendante, qui a créé ce que vous voyez devant vous, cette cathédrale Saint-Pierre, cette basilique Saint-Pierre, ce monument à la conscience de la mort, en commençant par Pierre et en traçant tout au long. Car telle est la vérité derrière la succession apostolique, dont les catholiques sont si fiers.

La vérité est que ce qu’ils ont maintenu de Pierre est exactement la conscience de Pierre, la conscience de la mort, qu’ils ont maintenue dans une ligne ininterrompue. Et pourquoi est-ce une ligne continue ? Parce que ce qui est de la conscience de la mort peut être maintenu en ligne ininterrompue dans le physique, tandis que ce qui est de l’Esprit ne peut être maintenu en ligne ininterrompue, car le Saint-Esprit souffle où il veut. Il ne peut être confiné à aucun système, aucune boîte mentale, aucune structure particulière, telle qu’une église ou une organisation. Il ne peut y avoir une ligne ininterrompue de l’Esprit, car certains n’auront l’Esprit que pour un temps. D’autres l’auront pendant toute leur vie, mais ensuite, quand ils partent, où atterrira l’Esprit ensuite, qui sera ouvert au flux de l’Esprit ?

L’Esprit ne peut être capturé par aucune organisation
C’est en effet la question, et c’est pourquoi vous verrez l’impossibilité d’avoir une organisation qui a le flux ininterrompu de l’Esprit. Cela ne peut tout simplement pas être fait, car lorsque vous démarrez une organisation et que cette organisation atteint une certaine taille et complexité, il est inévitable que les personnes qui ont créé cette structure, cette complexité, l’aient dotée d’une conscience suffisante, qu’ils ont créé une entité vivante, une bête vivante. Et cette bête cherchera à se maintenir, à survivre. Et par conséquent, il utilisera l’organisation extérieure qui l’a créé pour se maintenir.

Et si les membres de l’organisation ne sont pas disposés à laisser mourir leur identité mortelle, même en laissant apparemment l’organisation mourir afin qu’elle puisse renaître continuellement, eh bien, alors ils céderont à cette bête, et ils lui donneront la continuité qu’elle cherche. Car la bête n’a pas de réalité dans l’Esprit, et donc elle doit rechercher l’immortalité dans l’octave physique en amenant les gens à l’adorer, à adorer la bête plutôt que le Christ vivant – qui n’a pas besoin d’être adoré, mais a besoin de vous pour devenir un avec moi.

Je n’ai pas besoin d’adoration. J’ai besoin de ceux qui seront un avec moi dans la régénération continuelle, la transcendance de soi continue. Pourtant, ceux qui ne transcenderont pas, qui ne laisseront pas mourir l’ancien, ils voudront la continuité dans l’octave physique sous la forme d’une structure, d’une organisation, d’une église. Et c’est précisément ce que vous voyez dans ce mausolée des papes morts, qui n’ont aucun Esprit, car ils n’ont aucun lien avec la réalité de qui je suis ou pourquoi je suis venu sur cette Terre. Ils ont perverti tout ce que je défendais, tout ce que je défends aujourd’hui. Il n’y a absolument rien ici qui vibre avec la réalité de qui je suis.

Il n’y a pas de place pour le Christ dans cette Église
Ce messager en se promenant ici, s’est rendu compte qu’il n’y avait même pas de représentation de moi, mais même les représentations de moi trouvées ici ne sont pas représentatives de moi. Et ainsi, alors qu’il marchait, il a finalement remarqué un rayon de soleil qui brillait à travers une fenêtre, et il s’est rendu compte que c’était la seule vraie lumière spirituelle ici – venant de l’extérieur de cette structure qui n’a pas de vie en elle, qui n’a pas l’Esprit en elle, car elle n’a pas de place pour moi.

Il n’y a pas de place pour moi dans la structure, dans l’organisation, il n’y a pas de place pour moi. Même si beaucoup de gens qui viennent ici ont une grande dévotion envers moi dans leur cœur, la dévotion qu’ils ont est tellement colorée par les images taillées produites par cette Église catholique – et d’autres églises chrétiennes traditionnelles – qu’ils n’ont vraiment pas de place pour le Christ vivant. Ils n’ont de place que pour le Christ mort, à la hauteur de leur image. Et si je n’étais pas à la hauteur de leur image, eh bien, ils me fuiraient instantanément. Ils se retireraient de moi, ils m’appelleraient même le diable, comme ils le faisaient quand je marchais sur cette Terre et que les scribes et les pharisiens disaient que j’étais un faux prophète ou du diable. Donc ils diraient la même chose ici, si je permettais à ce messager de se lever et de créer un spectacle. Ils rejetteraient instantanément l’Esprit vivant qui coule à travers n’importe qui, car ils ne reconnaîtront pas que quiconque puisse avoir l’Esprit vivant, car ils pensent que l’Esprit a été mis en cage dans cette structure, de sorte qu’il ne repose que sur cette seule personne, le Pape.

Mais regardez-le et le sermon et le service qu’il a rendus ce matin. Y avait-il un Esprit vivant dans cet homme ? Je vous dis «non», il n’y a pas eu une étincelle de cela, il n’y a pas eu une étincelle de vie, mes bien-aimés. Il n’y avait aucune volonté de couler avec le Fleuve de Vie, avec la joie de vivre. Il n’y avait qu’un sépulcre blanchi, qui a l’air beau à l’extérieur avec tout le faste et l’apparat que vous trouvez dans la structure, mais il n’a aucune réalité à l’intérieur – il est rempli d’ossements d’hommes morts. Les os des hommes morts qui sont stockés ici comme les os morts des anciens papes.

Cette Église est basée sur l’idolâtrie
Mes bien-aimés, croyez-vous sérieusement, que le prêcheur qui parcourait les collines de Galilée – qui s’est retiré dans les collines de Galilée pour s’éloigner des boîtes mentales de la religion juive – croyez-vous sérieusement, que j’aurais voulu qu’ils créent une boîte mentale à partir de la religion que je suis venu créer, et qu’ils créent une structure comme celle-ci, qui n’a absolument aucune réalité ? Il n’y a rien ici qui oriente vos pensées, votre cœur vers Dieu. Cette structure vous emmène vers une image faite par l’homme, une image taillée, une idole.

Et c’est précisément toute l’idée et la conscience derrière cette structure – créer quelque chose qui occupe votre attention ici sur Terre, vous donne un rituel, vous donne une structure, qui détourne votre attention de quoi : la seule chose où le Royaume de Dieu peut être trouvé, le royaume de Dieu en vous, l’ouverture dans votre propre cœur, là où vous n’êtes pas autorisés à aller. Car vous êtes censés suivre les règles extérieures de la structure, qui sont mises en place ici par cette organisation, qui prétend être la seule véritable Église qui me représente sur Terre. Mais cela ne représente rien de plus que la réticence des êtres humains à abandonner leur vie mortelle dans la réalité de Christ. Ils cherchent à sauver leur vie ; ils ne sont pas prêts à donner leur vie pour moi. Et ainsi, comme je l’ai déjà dit, ceux qui me renient devant les hommes, je dois les renier devant le Père.

Non pas que je les renie ou que je veuille les renier, mais qu’évidemment ceux qui n’ont pas intériorisé la lumière du Christ – qui n’ont pas abandonné l’ego et la conscience humaine – eh bien, évidemment, ils ne peuvent pas entrer par la porte de l’ascension. Car ils ne peuvent pas laisser derrière eux leurs images taillées, leur sens du soi mortel, qu’ils pensent pouvoir perfectionner d’une manière ou d’une autre, ou qu’ils ont perfectionnées par le sacrifice de mon propre corps physique sur la croix il y a 2 000 ans. C’est un mystère que cela puisse avoir un sens pour quiconque, même pour moi qui réfléchis, alors que je connais exactement la capacité de l’esprit humain, la conscience de la dualité, à apparemment donner un sens à l’absurde.

Néanmoins, on doit espérer qu’un nombre suffisant de gens finira par se réveiller et exigera un changement, refusera simplement de croire à ces anciennes doctrines et dogmes – et dira finalement : Revenons en arrière et regardons d’où ils viennent, regardons qui a réussi à insérer ces idées toxiques dans l’église chrétienne. Et puis, utilisons notre discernement du Christ et nos cœurs pour déterminer ce qui est conforme à la vision du Christ et ce qui ne l’est pas. Et puis décidons d’extirper ce qui manque, ce qui n’est pas conforme à la réalité de ma mission et de ma vision.

Le jugement de la bête du christianisme dominant
Ainsi, je vous le dis, moi, Jésus, le Christ vivant, je lève la main droite de ce messager pour utiliser le sceptre de Surya pour faire sortir le jugement absolu et définitif de cette bête du christianisme orthodoxe et de l’Église catholique. La bête qui a commencé même avant Pierre, car il l’avait vénérée dans de nombreuses incarnations avant de me rencontrer dans la chair. Et il le vénère encore aujourd’hui, refusant de le laisser partir. Mes bien-aimés, cette bête a pris fin aujourd’hui.

Certes, elle sera recréée presque instantanément par ceux qui ne peuvent pas, qui ne veulent pas, la lâcher. Mais pourtant, l’élan qui s’est accumulé au cours de ces 2 000 ans, cet élan est mort, maintenant à cet instant même ; c’est parti. Et ainsi, les gens ont un nouveau départ, une nouvelle page blanche sur laquelle ils doivent maintenant écrire. Et tous ceux qui sont ici, chacun des milliards de personnes qui se disent catholiques – et les nombreux millions d’autres qui prétendent suivre une autre religion dominante – eh bien, ils le sentiront à cet instant à des niveaux intérieurs, même si la plupart d’entre eux ne voudront pas le reconnaître consciemment. Ils sentiront qu’un changement s’est produit, qu’un cycle est arrivé à son terme. Car c’est l’année 2010, qui marque la fin de l’ère des Poissons et le début de l’ère du Verseau.

Et ainsi, je vous le dis, moi, Jésus, je retire ma lumière, la lumière qui a permis à tant de chrétiens au cours de ces 2 000 ans de pouvoir se dire chrétiens, tout en adorant les idoles de l’antéchrist. Ce voile et cette dispense ont été retirés. J’ai permis cela parce que je voulais donner aux gens le plus de temps possible pour construire le discernement intérieur, du plus profond de leur cœur, qui leur permettrait de reconnaître la réalité du Christ en eux-mêmes. Pourtant, je ne peux plus maintenir cette dispense, et donc elle doit être retirée, afin que les gens se tiennent debout par eux-mêmes, sans avoir aucune de ma lumière et de ma grâce qui les a soutenus. Et ainsi, ils devront faire face à leur propre karma, leurs propres pensées, leurs propres idoles, et leurs propres images dualistes, qu’ils superposent constamment sur la lumière Mater, et superposent ainsi sur eux-mêmes, leurs esprits extérieurs, leurs corps physiques.

Dénoncez l’hypocrisie du christianisme
Ils devront s’en occuper à partir de ce jour, car je ne porterai plus les péchés du monde, je ne porterai plus les images taillées du monde, mais je leur permettrai encore de maintenir une existence. Moi, Jésus, j’ai retiré ma lumière et mon parrainage du christianisme. Il n’y aura aucune possibilité pour eux de se cacher sous le prétexte d’être chrétiens, tout en ne respectant pas les commandements que j’ai donnés il y a 2 000 ans. Cette hypocrisie ne sera pas tolérée.

Ainsi, j’ai retiré la lumière maintenant. Et j’appelle tous ceux qui souhaitent faire partie de l’ère du Verseau de se lever et de le dénoncer publiquement. Dénoncez-le à travers votre discours, à travers vos appels, à travers vos exemples vivants. Dénoncez l’hypocrisie et l’erreur du christianisme orthodoxe, dénoncez la coquille vide qu’il est. Ce n’est pas une seule personne qui est censée faire cela, car je ne veux pas qu’une seule personne se démarque comme la seule. C’est l’ère du Verseau, c’est l’ère du Saint-Esprit, c’est l’ère de la communauté, où beaucoup doivent se manifester et doivent être prêts à jouer un rôle dans cela, peu importe comment ils sont perçus par les autres.

Démontrez qu’il existe un moyen d’aller au-delà de la dualité, démontrez qu’il existe un moyen d’aller au-delà de l’approche dualiste de la spiritualité et de la religion. Pas dans le sens où vous devez vous donner en spectacle, mais dans le sens où vous devez être prêts à démontrer qu’il existe un meilleur moyen. Il y a une autre manière d’approcher Dieu, d’approcher le Christ, d’aborder la spiritualité, sans se prendre au sérieux, qui n’est pas accablée par cette attitude hypocrite, qui vous fait avoir ce long visage quand vous pensez être dans un cadre religieux. Approchez-vous de la spiritualité à travers la flamme que je suis venu apporter sur cette Terre, la flamme de Joie vivante, la flamme de Joie vivante que JE SUIS.

Regardez cet endroit, regardez cet endroit – y a-t-il de la joie ici ? Non, car elle est basée sur la conscience même que vous êtes un pécheur, que vous devez vous sentir coupables et que la religion est une obligation et non une joie. Enlevez cette conscience et que resterait-il ? Sur plus d’un milliard de catholiques dans ce monde, s’ils n’avaient pas la peur de l’enfer ou du purgatoire, s’ils n’avaient pas le sens du péché, le sens de la culpabilité, qu’est-ce qui les pousserait à aller dans leurs églises ? Qu’est-ce qui les motiverait ? Rien, car ils réaliseraient alors que sans le fardeau du péché, de la culpabilité et de la peur, ils n’auraient pas besoin de l’église extérieure, mais pourraient suivre mon commandement d’aller dans leur chambre, d’aller dans leur cœur, pour prier. Et par conséquent, ils pourraient me trouver, le Christ vivant, dans leurs cœurs.

Jésus n’a pas donné les clés du royaume à Pierre
Car en effet, mes bien-aimés, le royaume de Dieu n’est pas dans l’Église catholique ni dans aucune autre Église. Le royaume de Dieu est à l’intérieur, c’est précisément pourquoi c’est une telle erreur, que j’ai donné les clés du royaume de Dieu à Saint-Pierre. Non, je n’ai pas donné les clés à Pierre. J’ai donné les clés de la conscience qui rend possible que tous les gens aient le potentiel de reconnaître le Christ vivant et de reconnaître qu’il existe une réalité au-delà de votre boîte mentale.

C’est la clé du royaume, c’est la clé de la connaissance, qui ouvre la porte du royaume dans votre cœur – lorsque vous l’utilisez. Mais si vous ne l’utilisez pas – comme Pierre a refusé de l’utiliser en me reniant trois fois et plusieurs fois – eh bien, alors vous ne trouverez pas ce royaume à l’intérieur. Et alors vous succomberez au mensonge que vous ne le trouverez jamais par vous-mêmes, et que vous avez besoin d’une église extérieure, d’une organisation extérieure, d’un vicaire du Christ ou même du sacrifice du Christ pour être sauvés.

Quelle folie, quelle erreur, quelle hypocrisie. Que ce mensonge prenne fin aujourd’hui. Qu’il soit dénoncé pour ce qu’il est, que la bête derrière elle s’achève, alors que, de nouveau, je lève le sceptre et touche le troisième œil de ces bêtes du christianisme. Et qu’elles soient alors prises. Mais laissez-les aussi être dénoncées – les mensonges être dénoncés – afin que les gens puissent les voir et trouver leur nouvelle liberté et non la recréer. Pour qu’ils ne restent pas toute leur vie endormis, mais qu’ils se réveillent et utilisent le temps qu’il leur reste dans l’octave physique comme une suprême opportunité de surmonter – de surmonter cette conscience de mort, cette conscience de Pierre, cette conscience d’antéchrist – et aller à l’intérieur pour trouver la Vérité, la Vérité vivante dans leurs cœurs.

La Vérité vivante ne se trouve pas dans les structures, ni dans les livres, ni dans les bâtiments. Elle ne se trouve nulle part en dehors de vous-mêmes. Et si vous vous concentrez sur quelque chose à l’extérieur de vous-mêmes – de sorte que cela détourne votre conscience, votre attention de ce qui est à l’intérieur, du point d’immobilité à l’intérieur – eh bien, alors cette chose extérieure est en effet devenue une idole, une image gravée qui se dresse entre vous et Dieu, vous et le Dieu vivant – qui se transcende constamment et ne peut donc être confiné à aucune structure, aucune forme, car il est au-delà de la forme.

Il n’y a pas de lieu saint sur Terre
Regardez les formes ici, regardez comment elles sont soigneusement élaborées. Vous pouvez appeler cela de l’art, vous pouvez l’admirer. Je ne l’admire pas, quel que soit le savoir-faire qui y est consacré, quelles que soient les bonnes intentions qui y sont liées pour certains artistes. Ce n’est pas de l’art, mes bien-aimés ; c’est l’abomination de la désolation, se tenant dans le lieu saint où elle ne devrait pas. Sauf pour le fait que ce n’est pas un lieu saint, car il n’y a pas un seul lieu saint, ni ici à Rome, ni à Jérusalem, ni nulle part ailleurs. Il n’y a pas de lieu saint sur Terre, car le lieu saint est en vous. Et si vous ne le trouvez pas là, vous avez fait de tout lieu extérieur qui détourne votre attention de l’intérieur, vous en avez fait un sacrilège, vous en avez fait une idole. Et donc, il faut bien qu’il meure avant que vous puissiez être libres.

Et si vous ne le laissez pas mourir tout seul, alors vous devez mourir avec lui, et vous devez descendre avec lui. Car vous devenez si complètement piégés par cette conscience – par votre refus de penser, votre refus de prendre la responsabilité de votre propre être, de votre chemin spirituel, de votre propre salut – car en effet, c’est l’essence du message que j’ai prêché il y a 2 000 ans : le royaume de Dieu est en vous.

Qu’est-ce que cela veut dire ? Cela signifie que vous êtes seuls responsables de trouver le royaume de Dieu en VOUS. Personne ne peut le trouver pour vous, personne ne peut vous emmener dans ce royaume, à moins que vous ne le trouviez en vous-mêmes. Et par conséquent, vous êtes responsables de votre propre salut, car vous êtes responsables de l’utilisation de votre libre arbitre, et de la façon dont vous avez utilisé ce libre arbitre et la force de votre attention, vos pouvoirs de cocréation, pour créer un sentiment d’identité comme un être humain mortel, qui est soit un pécheur, soit autrement empêché d’entrer dans le royaume de Dieu. Vous pensez que vous devez passer par un processus avant de pouvoir entrer dans ce royaume, au lieu d’accepter ce que j’ai dit il y a 2 000 ans : le royaume de Dieu est proche, si vous êtes prêts à aller à l’intérieur et à le trouver là.

Vous pouvez le trouver à tout moment ; le seul processus que vous devez suivre est de changer la réalité que vous croyez – la réalité qui est un mensonge, mais vous croyez que c’est une réalité, pensant qu’il y a quelque chose qui vous sépare du royaume de Dieu. Quelque chose que vous avez fait dans le passé, une condition créée par Dieu, où vous êtes nés dans le péché ou quoi que ce soit. Vous avez élevé certaines conditions dans ce monde pour leur donner le pouvoir sur votre Esprit, votre soi conscient et votre unité avec votre soi spirituel, votre Présence JE SUIS. C’est l’image taillée que vous avez placée devant le Dieu qui est en vous, et c’est vous qui l’avez créée et donc vous pouvez la décréer. Vous pouvez aller au-delà, vous pouvez décider de la laisser mourir en ne l’alimentant plus avec la lumière de votre attention.

Le défi de Jésus à l’humanité
C’est donc le défi que j’ai lancé à l’humanité il y a 2000 ans. Oh, si peu étaient prêts à relever ce défi. Pourtant, au moins à l’époque actuelle, beaucoup sont prêts à relever le défi, s’ils le souhaitent. Et ainsi, beaucoup n’auront besoin que d’un mot, beaucoup n’auront besoin que d’une simple explication – pas dans un langage hautain, pas revêtus d’aucune sorte d’autorité, autre que la simple autorité de la vérité, qui déverrouille certainement en eux un souvenir intérieur de ce qu’ils savent déjà dans leur cœur. Et soudain, leurs esprits extérieurs sont accélérés, et ils se reconnectent maintenant à cette connaissance intérieure. Et ils se rendent compte que c’est bien la vérité : « Je suis ici pour démontrer que je suis l’un de ceux qui sont prêts à assumer leur responsabilité entière et finale. Je suis prêt à m’élever au-dessus de la conscience de la dualité, de l’exposer en moi en étant honnête et disposé à me regarder, et de l’exposer partout où je la trouve dans le monde extérieur, même dans la religion de ma culture, de ma famille et de ma société. Je suis prêt à m’exprimer et à dire : Cela n’a tout simplement plus de sens. Je refuse d’y croire. Je refuse de le laisser guider ma vie, de le laisser consommer ma vie. Je le refuse, et donc je suis prêt à m’exprimer. Je suis prêt à parler de la réalité qu’il y a PLUS. »

Quoi que vous pensiez de moi, je suis plus. Quoi que vous pensiez de moi – peu importe que vous pensiez avoir été dans les enseignements des maîtres ascensionnés pendant des décennies, que vous ayez étudié telle ou telle dictée, que vous pensiez connaître la réalité de qui je suis, même si vous avez tout lu sur mon site Internet ou dans les livres – je suis PLUS. Je suis plus que tout ce qui pourrait jamais être mis en mots, dans n’importe quel enseignement extérieur. Je suis plus, et vous ne connaitrez ce plus que lorsque vous déciderez de le chercher dans votre cœur. Car c’est seulement là que vous trouverez le Christ vivant. Vous ne me trouverez nulle part ailleurs, ni dans cette église Saint-Pierre, ni sur mon site, ni dans aucun autre endroit que vous pourrez identifier sur cette Terre.

Vous ne me trouverez que lorsque vous entrez dans votre cœur, non pour trouver un emplacement, mais pour trouver le point d’immobilité, la singularité qui est l’ouverture au royaume de Dieu. Car c’est l’ouverture qui va au-delà de l’espace et du temps, qui va au-delà de la forme, et c’est là que vous me trouverez. Car même si je peux prendre une forme, comme je l’ai fait il y a 2 000 ans dans un corps physique, même si je peux parler à travers une forme, comme ce messager ou mon site Internet, je suis toujours plus que n’importe quelle forme que je prends – tout comme vous êtes toujours plus que n’importe quelle forme que vous avez prise. Et c’est la réalisation à laquelle vous devez parvenir par vous-mêmes, avant de pouvoir la trouver en moi, avant de pouvoir vous reconnecter au soi sans forme que vous êtes.

Le désir de savoir avant de voir
Vous pensez tous que vous avez un plan divin, vous pensez tous que vous avez une individualité divine dans votre Présence JE SUIS, mais vous ne réalisez pas tous que l’individualité divine est au-delà de la forme. Il n’a pas de forme, que vous pouvez identifier avec votre esprit extérieur. Vous ne pouvez pas l’écrire, vous ne pouvez pas le voir dans une vision. Vous ne pouvez que le laisser se déployer ; vous ne saurez pas ce que c’est, mes bien-aimés, avant qu’elle ne se manifeste à travers vous. Vous le saurez en le voyant se déployer, vous ne le saurez pas à l’avance.

Voyez-vous que c’est précisément la conscience de Pierre, l’idée qu’il y a un écart entre votre action et votre connaissance intérieure, de sorte que vous êtes censés savoir à l’intérieur ce que vous allez faire. Et puis vous avez un espace, où vous pouvez décider si vous êtes prêts à le faire ou non. C’est la conscience déchue, c’est la conscience de la dualité, qui veut tout juger sur la base d’un standard terrestre, créé par l’homme, même un standard de perfection – comme tant de personnes ont tenté de définir un standard de perfection. Vous voulez être en mesure de juger vos impulsions à partir de votre Présence JE SUIS avant de leur permettre de se manifester sous forme d’actions ou de paroles. Et en voulant juger, vous n’êtes pas disposés à vous laisser mourir dans le flux de l’Esprit, où vous ne savez pas où le Saint-Esprit coulera à travers vous. Mais si vous voulez juger, vous ne voulez pas laisser cet Esprit souffler où il veut. Vous voulez savoir à l’avance si cela se déroulera de manière appropriée. Et par conséquent, vous arrêtez son flux par ce même désir de savoir avant de voir.

Mes bien-aimés, je n’ai aucune envie que vous étudiez mes enseignements vivants sur mon site Internet, afin de devenir la personne spirituelle la plus savante sur Terre. Je n’ai aucun désir que vous sachiez tout mais que vous n’agissiez sur rien. Je désire que vous deveniez comme le petit enfant, qui est prêt à exprimer tout ce qui vient de l’Esprit à travers lui. Mais qui a, bien sûr, traversé le processus d’apprentissage, le processus de se séparer de l’identité extérieure, de sorte que vous n’exprimez pas l’ego et les peurs de l’humain. Mais vous êtes intrépides devant Dieu et intrépides devant les hommes en permettant à l’Esprit de s’exprimer à travers vous. C’est le Saint-Esprit, c’est le courant, c’est l’église que je suis venu fonder, et c’est l’église contre laquelle les portes de l’enfer ne prévaudront pas.

Parce que les portes de l’enfer sont précisément le désir de rendre la forme permanente et d’enfermer l’Esprit dans la forme. Et cela ne peut pas être fait, et c’est pourquoi les portes de l’enfer prévaudront en effet contre toute église qui cherche à enfermer l’Esprit dans la forme, comme cette Église catholique l’a fait maintenant depuis si longtemps, que tout le monde pense que c’est la seule façon d’être chrétien. Mais ce n’est pas être vraiment chrétien, car ce n’est pas être comme le Christ, qui a exprimé tout ce qui m’est venu.

Vous pensez vraiment que je savais tout ce que j’allais faire ? Mes bien-aimés, il y a eu de nombreuses fois où je n’avais aucune idée de ce que Dieu ferait à travers moi, j’ai simplement permis que cela se produise. Et j’étais aussi surpris quand c’est arrivé que ceux qui regardaient. Il n’y avait aucun sens de prédestination, de prédéfinition, de prémonition. Certes, j’ai eu certaines idées et visions, mais je ne leur ai pas permis de piéger mon esprit en voulant qu’elles se produisent, ou en craignant qu’elles se produisent. Je me suis abandonné et j’ai permis.

L’abandon perpétuel
J’ai eu mes moments d’angoisse, comme dans le Jardin de Gethsémané avant mon arrestation. Certes, j’ai même eu mon moment sur la croix, où j’ai dû affronter ce dernier fantôme et le laisser partir, le laisser mourir, le remettre à Dieu. Et c’est un processus, qui sera continu pour vous. Je n’envisage pas que l’un d’entre vous puisse arriver à un point où vous n’avez plus rien à abandonner. Mais ce que je désire voir en vous, c’est que vous entriez dans cet état de conscience, c’est-à-dire l’abandon perpétuel, l’abandon continu, où vous ne cherchez pas à contrôler le flux de l’Esprit qui ne peut être contrôlé, mais vous permettez que cela se produise.

Vous permettez que cela se produise à tout moment, de n’importe quelle manière, comme ce messager a permis à cette dictée de sortir, même au milieu de cette cathédrale animée avec des milliers de personnes qui bourdonnent constamment autour de lui. Mes bien-aimés, laissez couler l’Esprit, accordez-vous la joie d’être surpris de ce que l’Esprit peut faire à travers vous, des choses que vous n’avez même pas pu imaginer auparavant, parce que votre intellect et votre mental extérieur ne pouvaient pas les imaginer, car elles ne rentrent pas dans votre boîte mentale.

Abandonnez-vous à ce flux, laissez-vous surprendre. Surprenez le monde, mes bien-aimés. Nous, dans le royaume ascensionné, avons un nombre infini de surprises, que nous aimerions faire jaillir sur cette planète, afin de sortir les gens de leurs boîtes mentales. Mais nous avons besoin d’esprits et de cœurs volontaires, nous avons besoin de ceux qui sont prêts à se laisser surprendre, au lieu d’être si corrects et planifiés et d’avoir tout défini à l’avance, d’avoir tout évalué sur la base d’une norme humaine, que vous avez établie, pour ce qui ne vous embarrassera pas ou ce qui est convenable dans tel ou tel contexte.

Le Saint-Esprit ne vous embarrassera pas, car le Saint-Esprit ne se donnera pas en spectacle, c’est l’ego qui le fait. Mais le Saint-Esprit vous surprendra, vous et les autres, par la façon dont il touchera le cœur des gens d’une manière sincère, d’une manière transformatrice. Voyez-vous la différence ? Si ce n’est pas le cas, envisagez alors de vous abandonner à l’Esprit et de permettre à l’Esprit de vous montrer la différence. Et vous serez surpris, vous serez fous de joie, vous serez ravis de ce que l’Esprit fera jaillir à travers vous, mes bien-aimés.

Vous n’avez pas besoin de vous lever et de crier dans n’importe quelle église – car je ne fais pas crier ce messager dans cette église – car à quoi ça sert ? Mais vous devez être vigilants, que lorsqu’il y a des gens qui sont réceptifs à un message différent, alors vous permettez à ces mots de sortir, cela touchera leur cœur. Pas forcément leur donner un éveil ultime, mais toucher leur cœur, pour qu’ils puissent passer à l’étape suivante, pour qu’ils puissent entamer le processus qui finira par leur permettre de s’épanouir, de transcender leur boîte mentale, de monter plus haut.

Les structures dans votre esprit
Mes bien-aimés, c’est seulement l’ego qui envisage un don ultime de l’Esprit, un événement ultime qui réveillera tout le monde. Regardez les chrétiens fondamentalistes, qui attendent ma seconde venue à tout moment. J’apparaîtrai dans le ciel comme une manifestation indubitable, que personne ne peut nier. Et par conséquent, ils peuvent se lever et dire : « Nous étions ceux qui s’attendaient à cela depuis le début, regardez-nous, regardez à quel point nous étions sages, que nous savions que le Christ viendrait de cette manière. » Cela n’arrivera pas, mes bien-aimés. C’est la génération méchante et adultère qui convoite un signe extérieur. J’apparaîtrai comme l’éclair d’Est en Ouest, d’une manière que vous ne verrez pas, car il sera parti avant même que vos yeux ne puissent l’enregistrer. J’apparaîtrai à travers de nombreuses personnes, à travers un mot ici, un geste là, une coupe d’eau froide au nom du Christ, qui permettra à quelqu’un de suivre une piste différente de la piste descendante qu’il suivait depuis peut-être plusieurs vies.

C’est ainsi que l’Esprit agit, non pas d’une manière extérieure et démonstrative, mais de tant de manières subtiles. Permettez à ce flux de se produire, permettez-lui de se produire en abandonnant vos rituels. Regardez cette Église catholique et comment tout est gravé dans la pierre, dans certains rituels, dans certains équipements dont le Pape a besoin pour accomplir ses devoirs, dans certains dogmes et doctrines. Regardez comment cela a expulsé l’Esprit, mais soyez ensuite disposés à être honnêtes et à vous regarder dans le miroir. Tenez-vous devant le miroir, au moins métaphoriquement parlant, et regardez-vous. Quelles structures avez-vous, quelles structures énormes avez-vous construites dans votre esprit ? Car je vous le dis, certains d’entre vous ont construit des structures dans leur esprit – dans leur corps mental, même dans leur corps éthérique – qui sont bien plus grandioses que cette basilique Saint-Pierre.

Vous avez construit ces structures en pensant qu’un jour quelqu’un sur Terre reconnaîtra votre sagesse supérieure, votre intellect supérieur, votre ego supérieur, même si vous n’admettez pas que c’est ce que c’est. Regardez ces structures, puis laissez-les s’effondrer sous les vents de l’Esprit. Alors vous serez libres. Vous ressentirez une telle liberté, une telle joie, une telle innocence. C’est en effet la joie que je désire voir, c’est la joie, que j’ai manifestée à certains moments il y a 2000 ans, qui ne sont pas enregistrés dans les Écritures. C’est la joie que j’ai manifestée lorsque j’étais avec ma compagne, Marie-Madeleine.

Beaucoup d’entre vous trouveront également leurs compagnons, lorsque vous lâcherez ces structures élaborées, qui vous maintiennent hors du royaume. Vous trouverez ce compagnon masculin ou féminin, qui est destiné à vous compléter. Car à l’ère du Verseau, ce ne sera pas le seul prêtre ascète et célibataire qui amènera les gens à Dieu. Ce seront ceux qui vivent un style de vie que vous avez qualifié de normal, mais ils ne le vivent pas de manière normale, car ils ont transcendé les rôles traditionnels de l’homme et de la femme. Et par conséquent, ils démontrent l’équilibre de l’union du masculin et du féminin, Alpha et Oméga, que moi et Marie-Madeleine avons démontré en privé à l’époque. Car nous savions qu’il ne pouvait pas être reconnu par la culture dominée par les hommes.

Et malheureusement, mon intention de faire en sorte que Marie-Madeleine fasse partie intégrante du mouvement chrétien ne s’est pas concrétisée. Car elle a été rejetée par les disciples masculins, précisément parce que trop d’entre eux, comme je l’ai dit, étaient piégés dans la conscience déchue, voulant blâmer les femmes pour la chute et supprimer l’élément féminin dans ce qu’ils considéraient comme leur religion, leur église, leur mouvement.

Dans cet ère du Verseau, le Christ ne peut être exprimé que s’il y a un équilibre entre le masculin et le féminin. Certains peuvent atteindre cet équilibre en restant seuls, beaucoup ne le peuvent pas. Et donc, il y a bien besoin d’une nouvelle compréhension, d’une nouvelle prise de conscience de la relation homme-femme, pour qu’elle ne soit pas la spirale descendante, qu’elle est devenue pour tant de personnes, le culte des formes extérieures. Mais qu’elle puisse être vue comme un chemin vers la transcendance, un chemin vers une spiritualité supérieure. Et cela, bien sûr, est quelque chose dont nous parlerons beaucoup plus dans les temps à venir, même dans les années à venir, car il y a beaucoup d’enseignements à faire ressortir.

Ainsi, j’ai rempli mon objectif de donner un enseignement ici, de donner à ce messager l’occasion de se démontrer que même s’il pense qu’il n’est pas possible de prendre une dictée dans une basilique surpeuplée, c’est en effet possible. Car avec Dieu, tout est possible, et aucune des centaines de personnes qui sont passées à portée de voix n’a prêté attention. Car ils étaient scellés pour ne pas remarquer, car ils étaient tellement concentrés sur les choses extérieures, qu’ils ne pouvaient pas voir ce qui était juste devant eux. Car seuls ceux qui ont une certaine connexion de l’intérieur pourront le voir à l’extérieur d’eux-mêmes. Ainsi moi, le Jésus-Christ vivant, pour la première fois avec l’infusion de l’Esprit du Christ en ce lieu, je dirai : « Que la paix du Christ soit avec vous ! » J’irai même plus loin et je dirai : « JE SUIS la paix du Christ avec vous ! »

Copyright © 2010 par Kim Michaels
Traduit par Noël Wan