Message dicté par Mère Marie à travers Kim Michaels, le 13 février 2010 sur le parvis de la Basilique Saint-Pierre.
Mes cœurs bien-aimés, ils viennent ici par milliers. Beaucoup viennent ici avec des cœurs purs, avec une pure dévotion à Jésus mon fils et à moi-même. Pourtant, moi, Marie, je dois dire, dans l’intérêt de la vérité et de la guérison : « Vous ne m’honorez pas, si vous venez ici et adoptez l’état d’esprit qui est l’antithèse de l’esprit du Christ qui voit l’unité en toute vie, l’unité entre le Créateur et sa création. »
Et qu’est-ce que la création du Créateur ? Jésus n’a-t-il pas dit dans le livre de l’Apocalypse : « Je suis l’Alpha et l’Oméga, le commencement et la fin ? » Et ainsi, cela ne signifie-t-il pas que l’unique Créateur s’est divisé en deux polarités d’expansion et de contraction, de masculin et de féminin ? Il faut comprendre, dans l’intérêt de la vérité, que la perversion originale des anges déchus, le plan originel des anges déchus pour créer une spirale descendante sur Terre, était précisément de pervertir l’acte originel de création dans l’esprit de ceux qui sont ouverts au mensonge de la séparation et de la dualité.
Le plan de séparation des hommes et des femmes
Lorsque le Créateur s’est divisé en deux polarités, ces polarités n’étaient pas opposées. Elles ne s’annulent pas, elles se complètent, elles forment un nouveau tout à partir duquel une nouvelle vie est créée. C’est la réalité. C’est la réalité, qui doit être connue de tous ceux qui prétendent honorer Jésus et moi-même. Car vous ne pouvez pas m’honorer ainsi que la fonction que j’occupe, la fonction de Mère Divine pour la Terre, sans honorer l’union du mâle et de la femelle. Non pas dans ce qui est normalement considéré comme l’union sexuelle – qui a pour but la procréation physique ou la satisfaction de désirs purement sensuels – mais comme une forme d’union supérieure, où mâle et femelle, homme et femme, se rejoignent et transcendent la conscience qu’ils sont opposés, qu’ils s’opposent l’un à l’autre, qu’il faut rabaisser l’une pour que l’autre soit le chef de famille.
C’est la conscience de la division des polarités originelles de Dieu, créées par les anges déchus et la conscience déchue. Comme les hommes et les femmes sur Terre sont de sexes différents, ils savaient que s’ils pouvaient insérer une pointe de mensonge qui diviserait les sexes et qui créerait entre eux la suspicion, l’animosité et l’opposition, il y aurait très peu de possibilité que la Terre s’élève à un état de conscience si élevé qu’eux-mêmes, les êtres déchus, ne pourraient plus s’incarner ici.
Leur dessein, toute leur raison d’être est bien de séparer l’homme et la femme, pour qu’ils ne puissent se rejoindre dans cette union qui transcende la sexualité et la procréation, qui transcende les rôles traditionnels, où l’homme est le chef de famille et la femme le subordonné, mais ils trouvent une union supérieure, où ils se réunissent en parfaite égalité. Car ils ont transcendé les jugements de valeur, la balance relative où il y a deux extrêmes, qui s’opposent l’un à l’autre, et ils ne se sont pas non plus réunis en un point proche du centre de cette balance, formant entre eux un compromis qui n’est pas le véritable équilibre.
Relation entre hommes et femmes sans jugement de valeur relatif
La réalité que nous avons essayé de vous enseigner est que tout ce qui se trouve sur la balance dualiste est en dehors de l’unité de l’esprit du Christ. Et ainsi, il ne s’agit pas d’élever un côté de la balance ou d’abaisser l’autre. Il s’agit de transcender la balance, par laquelle vous formez une telle attraction magnétique vers le haut, que vous tirez vers le haut la conscience de toute l’humanité.
Vous ne pouvez pas élever une partie de la vie en cherchant à abaisser une autre et en même temps être dans l’esprit du Christ. Vous ne pouvez pas désirer avoir raison parmi les hommes en donnant tort aux autres ou en les jugeant selon une norme que vous avez créée ou acceptée et en même temps être dans l’unité de l’esprit du Christ, qui ne cherche qu’à élever toute vie. « Ne jugez pas, afin de ne pas être jugés » signifie, en vérité, « Transcendez la conscience dualiste, de sorte que vous ne vous jugerez pas à travers elle lorsque vous passerez dans l’écran de la vie. »
En effet, quand vous regardez cette énorme basilique – censée être construite pour honorer le Christ – vous voyez qu’elle est dans son intégralité une expression de la conscience de la dualité, le désir d’élever une partie de la vie et de la dépeindre comme étant supérieure à toutes les autres. Cela a commencé il y a très longtemps, après la chute originelle dans le Jardin d’Eden, où il y avait ceux – même dans le Jardin – qui ne suivraient pas Maitreya pour transcender cet état de conscience, transcendant la conscience dualiste. Car ils désiraient même être meilleurs que d’autres à l’école de mystères, être des élèves plus avancés, recevoir des initiations spéciales et des privilèges spéciaux, même être érigés en chefs pour les nouveaux élèves, qui n’avaient pas encore atteint un certain niveau, du moins pensaient-ils, ceux qui aiment juger selon une norme, qu’ils ont créée ou acceptée des anges déchus eux-mêmes.
Le choix de rabaisser les femmes
Cette tendance à diviser, basée sur une norme humaine ou relative, peut être tracée à travers les cultures et les religions sur cette Terre. Comme vous le voyez dans le Jardin d’Eden, où c’était en effet le fruit défendu, le fruit défendu parce qu’une fois que vous participez à cette conscience de dualité – et que vous êtes piégés à l’intérieur de l’état d’esprit créé par la perception dualiste – vous ne pouvez pas voir au-delà de la perception. Vous ne pouvez rien voir de mal avec la perception, vous ne pouvez voir aucun besoin de la transcender, car tout semble si parfaitement logique et rationnel, selon le filtre dualiste à travers lequel vous voyez tout.
Vous êtes aveuglés, mais vous ne savez pas que vous êtes aveuglés – vous pensez voir la vérité suprême. Et ainsi, vous le voyez dans la Bible chez Caïn et Abel, vous le voyez dans les tribus d’Israël, vous le voyez chez les Égyptiens et les Juifs, et vous le voyez même parmi les propres disciples de Jésus, où ils ont dû rivaliser quant à savoir qui serait le plus important d’entre eux après le départ de Jésus. Et ainsi, en abordant toute cette discussion, ils ont démontré qu’ils n’avaient pas compris, qu’ils n’avaient pas capté la conscience du Christ, que Jésus leur avait démontré à tant d’occasions – et qu’il leur a démontré plus tard par se laisser crucifier par cette conscience dualiste du jugement.
Voyez-vous comment les anges déchus ont fait un choix ? Ils ont fait le choix que, parce que les femmes ne sont pas physiquement les plus fortes des deux sexes, donc pas celles qui sont susceptibles de partir en guerre, ils considéreraient les femmes comme le sexe le plus faible. Et non seulement le sexe faible, mais ils mettraient sur elles ce fardeau, qu’elles étaient celles qui avaient mangé le fruit défendu, qu’Eve était celle qui avait péché, et donc Eve est responsable de la chute de toute l’humanité.
C’est une perversion si subtile, qui a tant de ramifications, un état de conscience si subtil, qu’elle imprègne la relation même entre les deux sexes depuis les temps anciens et jusqu’à aujourd’hui. Pourtant, comme Jésus lui-même l’a dit à l’intérieur de la basilique, je l’exprime maintenant à l’extérieur de la basilique. Cette conscience d’animosité, ou de rivalité, ou de culpabilité et du blâme entre les hommes et les femmes, cela doit être transcendé dans l’ère du Verseau – si l’ère du Verseau doit devenir l’âge d’or de Saint-Germain.
Ma relation avec Saint-Joseph
Est-ce une coïncidence, que Saint-Germain était l’être qui s’est incarné en Joseph et que Joseph et moi étions les parents du Christ vivant en Jésus ? En effet, ce n’est pas un hasard, car c’est grâce à cette expérience, qu’a été posé le fondement par lequel Saint-Germain a pu transcender ces divisions traditionnelles, qui ne sont pas seulement la division entre l’homme et la femme, mais la division entre l’aspect masculin et féminin de chaque être humain, chaque âme, chaque courant de vie. En faisant l’expérience d’être avec moi, Saint-Germain a été élevé et mis sur une voie qui l’a conduit à son ascension – et par conséquent, il est maintenant le hiérarque de l’ère du Verseau. A l’époque, il y a 2000 ans, j’étais bien celle qui était sur le point de faire mon ascension. Et donc, Saint-Germain était celui qui en était plus éloigné, et il était donc élevé et amené dans l’équilibre grâce à notre relation physique et spirituelle.
Mes bien-aimés, j’ai déjà parlé du fait que Jésus n’a pas été conçu selon la définition catholique standard de l’immaculée conception, mais il y a une compréhension plus profonde, à savoir que Saint-Germain, Saint-Joseph et moi nous étions en effet réunis dans une union physique. Et par conséquent, la conception s’est faite par des moyens physiques, mais nous avons été conduits dans cette unité par le Saint-Esprit. Mais la compréhension la plus profonde est que lorsque nous nous étions réunis dans l’union physique, nous avions transcendé toute la conscience de la dualité. Et c’est bien pour cela que, d’un point de vue spirituel, on peut dire que Jésus était immaculé. Car il n’a pas été conçu de manière traditionnelle, où l’homme et la femme se rejoignent, tous deux étant piégés dans la conscience de la dualité. Et par conséquent, leur union est à un niveau physique, et elle ne peut pas transcender à ce niveau supérieur, où, en réalité, ils n’ont pas de relations sexuelles au sens traditionnel, tel qu’il est compris par la plupart des gens. Mais ils se réunissent dans une union si pure, à un niveau si élevé, qu’il n’y a aucune comparaison avec ce que la plupart des gens vivent dans leurs relations.
Je ne dis pas cela pour susciter un autre jugement de valeur, car ceux qui peuvent manifester cette union supérieure sont ceux qui peuvent transcender tous les jugements de valeur. Et ceux qui ne peuvent pas ou ne veulent pas transcender continueront à avoir des relations normales. Mais la réalité est qu’en ce jour de l’ère du Verseau, à l’aube de l’ère du Verseau, il est nécessaire qu’un grand nombre d’hommes et de femmes puissent se réunir dans une relation qui ne soit pas basée sur les désirs traditionnels – les traditionnelles « convoitises de la chair » ou tout ce que vous voudrez peut-être les appeler – mais cela transcende ces désirs humains. Et par conséquent, ils se réunissent dans une pureté, une union pure, qui n’a rien à voir avec l’état normal d’union entre hommes et femmes, qui est si courant dans la société d’aujourd’hui – et qui, en effet, est illustré dans la plupart des perversions que vous voyez, que ce soit dans la pornographie ou d’autre formes déviantes de sexualité.
La nécessité d’une vision supérieure de la sexualité
Certes, il est compréhensible que les personnes spirituelles à travers les âges aient examiné certaines des perversions, ou les aspects de base de la sexualité humaine, et aient conclu que cela ne peut pas être en harmonie avec le chemin spirituel ou un style de vie spirituel. Mais cela ne signifie pas que vous devez sauter dans l’extrême opposé et dire que la seule alternative à la sexualité de base est pas de sexualité du tout. Car comme Jésus lui-même l’a dit, comment peut-il y avoir équilibre, comment peut-il y avoir un rétablissement de l’équilibre, quand on saute d’un extrême à l’autre ?
Et ainsi, je fais moi aussi écho à ce que Jésus a déjà dit. Le célibat n’a pas été mandaté par Dieu. Ce n’est pas une inspiration de Dieu ou du Saint-Esprit qui a poussé l’Église catholique à instituer le célibat. C’est en effet parce que l’Église catholique depuis sa création était basée sur la conscience déchue, la conscience de Pierre, le désir de contrôler, le désir d’élever une structure sur Terre, qui est d’une telle ampleur, qui est à la hauteur d’un tel standard sur Terre, que vous pouvez créer l’illusion – et les gens croiront l’illusion – que cette structure vous donnera accès au ciel.
Car comment Dieu pourrait-il vous rejeter, comment Dieu pourrait-il rejeter quelque chose qui est si honoré parmi les hommes ? Pourtant, je vous le dis, qu’est-ce que Jésus a dit au diable lorsqu’il a été tenté ? « Que profitera-t-il à un homme de gagner le monde entier s’il y perd sa propre âme ? » Ou à quoi cela servira-t-il à une église, si elle gagne le monde entier et que les membres du monde entier perdent l’âme originelle du Christ. Et ainsi, ils ne sont qu’une coquille vide, rien qu’une coquille vide, mes bien-aimés.
Le plus grand défi d’être dans une relation
Certes, vous pouvez regarder ce monument et admirer certaines qualités artistiques ; vous pourrez admirer son ampleur. Pourtant, je vous le dis, c’est dans le cœur des hommes que nous, les maîtres ascensionnés, trouvons la beauté – dans le cœur des hommes et des femmes, en particulier lorsqu’ils se réunissent et transcendent ces schémas séculaires de division entre l’homme et la femme, entre mari et femme. C’est en effet ce que nous recherchons à l’ère du Verseau. Il est nécessaire que les personnes spirituelles sur cette Terre transcendent pleinement et finalement la conscience derrière le célibat dans les églises, le célibat dans les mouvements spirituels, et même transcendent la conscience même qui veut fermer la force vitale, le flux de la force vitale à travers les hommes et les femmes. Tout d’abord en blâmant les femmes pour la chute, mais aussi en faisant croire aux hommes qu’ils doivent rester en dehors de toute relation physique avec les femmes pour être purs.
Le défi n’est pas vraiment de rester à l’écart d’une relation physique, parce que c’est la solution facile. Le défi est d’entrer dans une relation physique, comme Joseph et moi l’avons fait, puis de transcender les aspects physiques de la relation physique, en spiritualisant chaque aspect. C’est un défi bien plus grand que de rester dans le célibat. Fondamentalement, toute personne ayant une forte volonté peut être célibataire. Mais à quoi bon avoir de la volonté, si elle n’est pas équilibrée par l’amour et la sagesse, pour qu’il n’y ait pas l’équilibre de la triple flamme ? Vous voyez beaucoup de gens dans des mouvements spirituels, même dans une organisation telle que l’Église catholique, qui ont construit cette volonté au cours de nombreuses vies, jusqu’à ce que le panache bleu de la triple flamme soit considérablement élargi et qu’ils aient apparemment tout sous contrôle – ou c’est ce qu’ils ressentent.
Mais la réalité est qu’ils manquent d’amour ou manquent de sagesse ou manquent des deux. Cependant, beaucoup de ceux qui ont une grande sagesse ont également passé de nombreuses vies à étudier les enseignements spirituels et ont ainsi acquis au moins une sagesse extérieure. Et ils utilisent cette sagesse pour défendre leur cause d’une manière intellectuelle très convaincante. Encore une fois, ils n’ont pas d’amour, ils n’ont pas de charité. Mais si je parle avec la voix des hommes et des anges et que je n’ai pas la charité, alors je ne suis rien.
Et ainsi, vous voyez – que le mensonge soit défié, que le mensonge soit défié, que le célibat est le seul chemin vers la croissance spirituelle ou le chemin le plus rapide vers la croissance spirituelle. Le chemin le plus rapide vers la croissance spirituelle est d’équilibrer les polarités masculine et féminine de votre être. Et le moyen le plus rapide d’y parvenir est d’entrer en relation avec une personne du sexe opposé, ce qui vous oblige, pour ainsi dire, à affronter ces problèmes en vous-même et dans votre relation.
Pourtant, bien sûr, je ne dis pas par là que chaque personne spirituelle doit se jeter tête baissée dans une relation après l’autre, mais que vous devez d’abord travailler sur vous-même en cherchant à atteindre le plus grand équilibre et le plus grand non-attachement en vous-même. Pour que vous puissiez magnétiser vers vous un partenaire avec qui vous n’avez pas un gros karma, mais avec qui vous avez un grand potentiel – ou ce que vous pourriez appeler un karma positif – de surpasser cet équilibre. Ou même, si c’est nécessaire, ayez l’accord nécessaire pour entrer dans une relation karmique ou plus afin de les surmonter rapidement, afin que vous puissiez passer à des relations moins karmiques qui peuvent vous amener à cet équilibre.
Le jugement de la Mère Divine sur le célibat
Mes bien-aimés, il y a toujours un discernement délicat dans toutes les relations. Et encore une fois, je ne pointe ni l’un ni l’autre des deux extrêmes, ni un compromis entre les deux. Mais je vous demande de transcender la conscience dualiste et d’aller au-delà, afin que vous puissiez voir la plus grande réalité, la plus grande réalité de la vérité du Christ, qui est au-delà des extrêmes dualistes ou du compromis entre eux – et peut donc vous donner la guérison. Car peut-il y avoir guérison sans vérité ? Non, car comment les déséquilibres créés à partir de la conscience dualiste peuvent-ils être guéris par la conscience dualiste ?
Ils ne peuvent pas – ils ne peuvent être guéris que lorsqu’il y a d’abord cet engagement à rechercher la vérité, la seule vérité indivise et indivisible du Christ, qui transcende les extrêmes dualistes. Ainsi, moi Marie, je lève la main droite – face à cette basilique Saint-Pierre – et je prononce le jugement de la Mère Divine sur le célibat dans l’Église catholique et la conscience qui le sous-tend. Je prononce le jugement de la Mère Divine sur le dénigrement des femmes dans l’Église catholique et la conscience derrière cela. Je prononce le jugement de la Mère Divine sur le refus de permettre aux femmes d’occuper des postes dans l’Église et la conscience derrière cela.
J’exige une ouverture de cet état d’esprit, j’exige qu’il soit brisé. Car je suis la représentante de la Mère Divine pour la Terre, et ainsi je dis : « Cela aussi prendra fin, à la fin de l’ère des Poissons. Il y aura une nouvelle prise de conscience, une nouvelle demande, que l’Église catholique doit soit changer soit mourir, que les femmes devraient être autorisées à occuper n’importe quel poste dans l’Église – y compris celui de pape – et que toute la conscience de la supériorité masculine et de l’infériorité féminine devrait être dégagée du Vatican et de toute la sphère de l’Église catholique à travers le monde. »
[La cloche de l’église sonne] Et ainsi, avec le son de la cloche, je sonne une cloche dans le domaine spirituel, la cloche qui appelle les hommes et les femmes à lever leur regard au-delà des relations terrestres, à s’accorder à ce son ancien, qui peut leur donner l’équilibre entre l’Alpha et l’Oméga, cet ancien carillon qu’est le bourdonnement cosmique. Car c’était le son originel, le son sans son avant que les deux polarités puissent même être perverties. Mais ça sonne l’équilibre parfait, le son équilibrant entre Alpha et Omega.
Et ainsi, je dis : « Que cette libération de lumière soit scellée ! » Car, comme nos deux messagers ont parcouru ces jardins du Vatican maintenant pendant plusieurs heures, nous avons libéré, à travers eux et leurs chakras, la victoire absolue de Dieu de la Lumière de Pureté. La Lumière de Pureté qui accélérera tous ceux qui le veulent dans la pureté de la Mère Divine, et donc jugera – par leurs propres choix – ceux qui ne veulent pas être accélérés dans la pureté.
Accélérez vers la pureté. Accélérez vers la pureté. Accélérez vers la pureté. Accélérez vers la pureté. Et ainsi, je suis la Mère Divine. Je suis l’accélération vers la pureté, je suis le processus d’accélération vers la pureté. Je suis cela, en haut comme en bas. Car je suis un avec tout ce qui est en bas et un avec tout ce qui est en haut – dans la Pureté.
Copyright © 2010 par Kim Michaels
Traduit par Noël Wan